juil - 2019 09
Image trouvée ici : https://trisomie.qc.ca/a-propos/accessibilite-universelle/

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Sous ces initiales se cachent, non pas les prénoms de deux amoureux ayant convolé, mais plutôt l’implication et les partenariats des Bibliothèques de Montréal et de l’accessibilité universelle.

L’accessibilité universelle, design universel (design for all) ou conception universelle, qu’est-ce que c’est?

Sous ces expressions se cache un même principe : offrir des aménagements ou des services que toutes et tous, sans distinction d’âge, de sexe, de situation ou de handicap, peuvent utiliser.

Les Nations Unies définissent l’accessibilité universelle ainsi : « la conception de produits, d’équipements, de programmes et de services qui puissent être utilisés par tous, dans toute la mesure du possible, sans nécessiter ni adaptation, ni conception spéciale » ( Article 2 de la Convention internationale des Droits des personnes handicapées).

Ainsi on différenciera l’accessibilité simple ou l’adaptation, par exemple construire une rampe à côté d’un escalier pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’accéder à un bâtiment, de l’accessibilité universelle où l’on construirait plutôt une entrée de plain pied que toutes et tous sans distinction peuvent emprunter.

À Montréal, l’organisme Société Logique en donne une explication claire et illustrée avec les sept grands principes du design universel.

Le Code de construction du Québec donne les règlements obligatoires à suivre lors de la conception et la construction d’un bâtiment. La Ville de Montréal possède son propre guide d’Accessibilité universelle des bâtiments municipaux, qui dépasse les exigences minimales du Code de construction. Ces normes orientent les nouvelles constructions ou rénovations importantes des Bibliothèques de Montréal, ainsi que les mises à niveau des constructions déjà existantes, lorsque nécessaire.

L’organisme Kéroul a récemment réalisé une évaluation de l’accessibilité des 45 bibliothèques montréalaises (dans le cadre du Fonds dédié en accessibilité universelle du SDIS)  afin de mieux informer les personnes ayant des limitations quant aux détails de l’accessibilité de leur bibliothèque de quartier.

Les principes de l’accessibilité universelle ne concernent pas uniquement les bâtiments, on doit aussi les retrouver dans les services, les équipements, les collections, la signalisation, les espaces particuliers, ainsi que dans la communication (incluant les sites internet) et la médiation, dans l’optique de faire connaître les bibliothèques et d’accueillir au mieux les personnes en situation de handicap, ou encore dans la sensibilisation des publics aux besoins des personnes ayant une limitation.

Plusieurs organismes et ressources peuvent nous guider lors de l’aménagement d’espaces et de services.

Les Bibliothèques de Montréal ont mis en place diverses activités et partenariats avec des organismes spécialisés en accessibilité universelle et plus particulièrement Altergo.

  • Octobre, mois de l’AU dans les Bibliothèques de Montréal a vu le jour en 2012. L’objectif de ce mois est de sensibiliser le grand public aux différents troubles et déficiences et à augmenter la fréquentation de nos bibliothèques par les personnes ayant des limitations. Une programmation de 75 activités reliées aux 5 sens et à la différence est déployée pendant le mois d’octobre. Les organismes de personnes ayant une limitation en profitent pour mettre plusieurs de ces activités à leur programmation et faire ainsi découvrir le plaisir de fréquenter leur bibliothèque à leurs membres.
  • La grande séduction des Bibliothèques de Montréal en accessibilité universelle est un événement qui vise à faire la promotion des services adaptés mais aussi de l’offre de service plus récente des bibliothèques trop souvent méconnue. Ainsi, les organismes et personnes ayant des limitations sont invités à cet événement et il leur est fait la promotion des services et équipements disponibles : livres en gros caractères, livres audios, jeux adaptés, loupes numériques, logiciel d’agrandissement d’écran. Les collections et équipements moins connus tels que le biblio-courrier, les fablabs, la bibliothèque numérique ou encore les vélos-pupitres sont également présentés aux participants à la grande séduction.
  • Marches exploratoires : plusieurs marcheurs ayant une limitation différente déambulent dans une bibliothèque déterminée afin d’exprimer des recommandations quant à ses services
  • Enfin, chaque automne, une formation est déployée par Altergo auprès du personnel afin que chacun soit mieux outillé pour accueillir les personnes ayant une limitation en fonction de leurs spécificités et ainsi mieux les servir.

Voici également une veille qui s’intéresse aux questions que pose l’accessibilité universelle dans nos institutions, qui propose des façons de changer certaines pratiques, d’améliorer certains lieux ou symboles bien connus :

  • The Accessible Icon Project : le symbole international d’accessibilité universelle (le célèbre personnage assis sur sur un fauteuil roulant en blanc sur fond bleu) a été créé en 1968 et on le doit à Susanne Koefoed. En 2009, les américains Brian Glenney et Sara Hendren commencèrent à réfléchir à un symbole plus vivant après que cette dernière en ait vu un différent au MoMA.
  • bibliotheque-inclusives.fr : un site français qui s’adresse aux professionnels des bibliothèques et leur propose des ressources en liens avec l’accueil pour tous. On parle ici de différents handicaps, mais aussi des personnes éloignées des bibliothèques de par leur statut socio-économique, l’emprisonnement, l’illettrisme.
  • Tactile Studio : rendre l’art accessible à tous, c’est ce que fait Tactile Studio en utilisant les principes du Design for All. Ils conçoivent ainsi maquette, signalétique, reproductions à toucher de sculptures, s’adressant premièrement aux personnes avec un handicap visuel, mais qui interpellent finalement tous les publics.
  • Pictos en bibliothèques : un projet qui a vu le jour en Bretagne (France) suite au désir de “de pouvoir utiliser une signalétique adaptée pour les personnes en situation de handicap, notamment pour les personnes en situation de handicap intellectuel, et plus largement pour toutes les personnes en difficulté avec la lecture.” Les pictogrammes issus de ce travail sont accessibles pour les bibliothèques du monde entier, avec ou sans texte.
  • Fablab et handicap : si cette ressources ne s’adresse pas directement aux bibliothèques, elle intéressera tout de même toutes celles qui ont développé un lab dans leur bâtiment. Ce guide aborde entre autres l’empowerment et l’autonomie que les fab labs peuvent générer pour les personnes en situation de handicap, ou bien encore comment ils peuvent participer à changer le regard qui est porté sur eux, ainsi qu’à briser leur isolement.
  • Signes de bibliothèque : ressource française en LSF (langue des signes française), donc différente de la LSQ (langue des signes québécoise), qui en 64 diapositives issues d’un partenariat entre une médiathèque et les élèves sourds d’un lycée français, offre tous les mots et expressions utilisés en bibliothèque : conte, remboursement, science-fiction, réservation, etc. À quand la même chose en LSQ?
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juin - 2017 13

Spéciale rumeurs et fausses nouvelles!

Trouvé ici.

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On en a beaucoup parlé l’automne et le printemps dernier. Nous suivions des élections présidentielles rocambolesques chez nos voisins du Sud et ceux de l’autre côté de l’Atlantique. La lutte politique se jouait aussi en ligne et les fausses informations ne manquaient pas, d’un côté comme de l’autre.

Avec la masse d’informations créées et diffusées chaque minute sur Internet, il n’est que trop facile d’en glisser de fausses, mensongères ou manipulatrices dans le lot.

Quand on sait que Facebook est le réseau social numéro un des Québécois pour accéder à l’information (source : Cefrio), réseau social sur lequel aussi bien Radio-Canada que nos voisins font des publications, il devient primordial de savoir repérer les fausses informations.

Nous avons donc regroupé pour vous outiller quelques articles (fiables!) récents, publiés par des médias et acteurs du numérique connus et reconnus.

Il existe d’autres outils pour repérer et déjouer les fausses nouvelles et la désinformation (comme hoaxbuster). En connaître un, vous amènera certainement à en découvrir d’autres. Ils peuvent servir de base à des ateliers ou activités en bibliothèques, pour tous types de publics. À vous de les informer sur la désinformation!

avr - 2017 09

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 nate bolt via Flickr (CC BY-NC 2.0)

Chaque semaine, des professionnel.le.s des bibliothèques de Montréal se réunissent de façon informelle avec leurs collègues pour échanger puis partager leurs trouvailles et leurs découvertes inspirantes. Tous les sujets touchant de près ou de loin les bibliothèques, les bibliothécaires et la culture sont abordés. Nous allons publier les résultats de cette veille collaborative chaque semaine pour en faire profiter un public plus large. Bienvenue à tou.te.s !

N’hésitez pas non plus à partager vos propres découvertes avec nous et vos collègues. Bonne lecture !
  • Amendes et frais en bibliothèques : Un survol des  différents frais payés en bibliothèques aux État-Unis et une réflexion sur leur élimination ou remplacement. (Jean-Philippe Décarie)
  • Lancer son Repair café : Guide complet : Un guide pratique pour créer un événement de type « repair café ». Contexte suisse donc les budgets, les liens et organismes à contacter le sont aussi, mais c’est un outil intéressant pour se lancer. (Gaëlle Bergougnoux)
avr - 2017 02

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 Par Jérémy Kergourlay — Travail personnel, CC BY-SA 4.0

Chaque semaine, des professionnel.le.s des bibliothèques de Montréal se réunissent de façon informelle avec leurs collègues pour échanger puis partager leurs trouvailles et leurs découvertes inspirantes. Tous les sujets touchant de près ou de loin les bibliothèques, les bibliothécaires et la culture sont abordés. Nous allons publier les résultats de cette veille collaborative chaque semaine pour en faire profiter un public plus large. Bienvenue à tou.te.s !

N’hésitez pas non plus à partager vos propres découvertes avec nous et vos collègues. Bonne lecture !
  • Étudier en pédalant. On peut étudier debout ou en pédalant dans trois bibliothèques de l’Université de Montréal. grâce à des postes de travail actifs qui y sont installés dans le cadre d’une étude en kinésiologie. (Marie D. Martel)
  • Une travailleuse sociale en bibliothèque pour itinérants. Dans la bibliothèque de Hennepin, une travailleuse sociale est engagée à temps plein pour accueillir et accompagner les itinérants. (Marie D. Martel).  Dans le même ordre d’idée, quel sera l’impact sur les personnes en situation d’itinérance qui  fréquentent une bibliothèque lorsque cette dernière ferme pour des rénovations ?  Le cas de la bibliothèque Martin LutherKing Jr à Washington.
mar - 2017 26

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 aurelie ghalim via Flickr (CC BY-SA 2.0)

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  • Vie privée et bibliothèques : enjeux et bonnes pratiques.  La question de la protection de la vie privée se pose de plus en plus avec la multiplication des outils numériques et en ligne.   Les questions et les bonnes pratiques de base demeurent les mêmes malgré que les contextes législatifs diffèrent.
  •  Des bibliothèques sans personnel ?  Un projet pilote des bibliothèques de Toronto pour remédier aux courtes heures d’ouverture de deux succursales soulève des questions.   Ce modèle de bibliothèque accessible par les usagers existe ailleurs, notamment en Scandinavie.
  • Envie de planifier un makerspace ? Quelques conseils destinés à ceux qui voudraient se lancer dans ce projet dans une milieu scolaire (mais facilement adaptable pour les bibliothèques).   Une fois l’espace planifié, vous pourrez lire la suite pour la mise en oeuvre.
  • Publics empêchés : Lever les obstacles. Un dossier complet sur les obstacles qui entravent l’accès des publics à la bibliothèque et l’exploration des pistes pour favoriser l’inclusion auprès des seniors, jeunes, personnes handicapées ou analphabètes, etc.

 

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mar - 2017 17

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 CannedTuna via Flickr (CC BY-NC 2.0)

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Cette semaine, c’est un spécial « design thinking » :

  • Le design du futur : Un numéro spécial de Library journal sur les approches centrées sur l’humain à l’occasion du 140ième anniversaire de ce journal. S’il ne faut lire qu’un article : Le futur du futur
  • Utiliser le design thinking avec les jeunes : Cet article de American Libraries suggère des pistes pour utiliser cette méthode pour co-concevoir la programmation avec les jeunes en soulignant les bénéfices de cette approche.
  • Le design thinking en action : Cette étude de cas présente la transformation du modèle de service en bibliothèque à l’aide du design thinking.
  • Design and thinking :  Ce documentaire se base sur les fondamentaux du design thinking en se concentrant sur les problèmes qui nous impactent dans notre quotidien. Le design thinking est présenté comme une méthode différente pour régler situations problématiques que celle que nous utilisons actuellement et  le documentaire fait le tour des produits ou solutions qui ont été conçues grâce au design thinking.
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mar - 2017 10

Chaque semaine, des professionnel.le.s des bibliothèques de Montréal se réunissent de façon informelle avec leurs collègues pour échanger puis partager leurs trouvailles et leurs découvertes inspirantes. Tous les sujets touchant de près ou de loin les bibliothèques, les bibliothécaires et la culture sont abordés. Nous allons publier les résultats de cette veille collaborative chaque semaine pour en faire profiter un public plus large. Bienvenue à tou.te.s !

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  • Développer des services innovants en bibliothèque : Une réflexion globale d’ Anne-Gaëlle Gaudion sur la transformation des services  et comment la bibliothèque peut faire face aux changements technologique et sociaux qui pourraient la rendre obsolète .  La maintien de la pertinence des bibliothèque passe notamment par une transformation en un espace social et de création et par une multiplication des services et collections innovants. (Jean-Philippe Décarie, Marie D. Martel)
  • La place des femmes dans l’espace public. Le Monde propose une discussion avec Edith Maruéjouls, docteure en géographie, sur les inégalités dans l’espace public. Proposition : Penser le partage de l’espace public dès l’enfance en évitant une construction de la domination au sein de celui-ci; encourager la mixité, le multi-usages et un aménagement flexible en termes de temps d’occupation ; relégitimer la présence des femmes dans l’espace public. (Jean-Philippe Décarie, Marie D. Martel)
  • Être bibliothécaire, demain.  Que sera le rôle des bibliothécaires dans un monde en mutation constante ?  Quelle est la valeur ajoutée de la formation et de l’expérience professionnelle des bibliothécaires ? Le bibliothécaire de demain devra entre autre être attentif aux signes avant-coureurs de toute transformation qui sera une opportunités d’inventer et d’innover. (Jean-Philippe Décarie, Marie D. Martel)
  • L’impact des bibliothèques comme espaces créatifs (PDF).  L’accès à l’information via les médias numériques a transformée la perception du rôle social des bibliothèques. Depuis les années 90, les bibliothèques se sont ré-orientées vers une forme de participation publique qui va bien au-delà du prêt et de la lecture. Les bibliothèques aujourd’hui s’engagent avec les citoyens dans le développement d’activités créatives et cette étude vise à en mesurer l’impact. (Jean-Philippe Décarie, Marie D. Martel, Sophie Talbot)
  • Makerspace : vers une nouvelle infrastructure civique.  Le potentiel des makerspaces est grand, souligne-t-on dans cet article, mais pour se déployer, ils auront besoin d’offrir cette stabilité institutionnelle que l’on rencontre avec les bibliothèques et qui supportent « une programmation communautaire signifiante ainsi que des opportunités éducatives et économiques. » (Jean-Philippe Décarie, Marie D. Martel, Sophie Talbot)
mar - 2017 02

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  • Médiathèque de Thionville : un projet qui  propose un nouveau modèle de médiathèque.   »Le bâtiment accueille des espaces d’exposition, de création, des studios de musique, un café restaurant et les différentes activités programmatiques se diluent les unes dans les autres et créent un dispositif dynamique. » ( Marie D. Martel)
  • Le nouveau bibliobus de Toronto qui offre non seulement des livres mais aussi l’accès au Wi-fi  et des équipements pour rejoindre les populations socialement exclus. ( Marie D. Martel)
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fév - 2017 24

 [Owl above door to center reading room on fifth floor. Library of Congress John Adams Building, Washington, D.C.] (LOC)

 Source : Bibliothèque du Congrès via Flickr 

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  • L’inclusion numérique en bibliothèque. C’est un sujet important qui touche au coeur du positionnement de la bibliothèque au 21ième siècle. Cet article en donne quelques exemples ainsi qu’une liste de lecture exposant divers projets d’inclusion numérique en bibliothèque. (Jean-Philippe Décarie, Pascale Félizat-Chartier, Marie D. Martel)
fév - 2017 17

 

Source : Designing the new commons

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